Les observateurs n’ont pas pu se rendre à Homs, épicentre des violences, pour des raisons de sécurité, a expliqué le chef de l’Onu.
Le régime syrien n’a pas complètement rempli ses obligations concernant le retrait des troupes et des armes lourdes des villes, et doit désormais envoyer un "signal clair" montrant sa volonté de rétablir la paix, indique mercredi le secrétaire général de l’Onu Ban Ki-moon.