Prié de dire si la France était prête à reconnaitre cette instance, le ministre des Affaires étrangères a répondu sur BFM TV et RMC Info : "Il faut qu’il s’organise d’abord. Pour l’instant, c’est une institution qui n’en est pas vraiment une". "On a des contacts avec eux, j’ai vu à Paris M. Ghalioune", a précisé Alain Juppé. "En tout cas nous les aidons, nous avons des contacts avec eux et nous les encourageons à s’organiser", a-t-il ajouté.
Le chef de la diplomatie française a jugé que la décision de la Ligue arabe de suspendre la Syrie de ses rangs était un tournant "très important".