La convention sur la disparition forcée inaugurera une collaboration entre le Maroc et la communauté internationale (Ramid)
Dans une déclaration à la presse avant la réunion du conseil, M. Ramid a expliqué que cette convention entrainera une implication de la société civile dans le suivi de ces cas au niveau local, mais également à travers les rapports qui seront soumis par le Maroc aux instances internationales chargées des droits humains. Elle va aussi ouvrir la voie à des plaintes individuelles qui pourront être déposées par des personnes qui se disent victimes d’enlèvement ou de disparition forcée, a ajouté le ministre.
"Le Maroc ne veut pas que de telles pratiques lui soient attribuées, ni dans le présent, ni dans le futur", a affirmé M. Ramid.