La Représentante spéciale du Secrétaire général pour les enfants et les conflits armés, Radhika Coomaraswamy, s’est "alarmée d’une nouvelle vague d’extrême violence, tuant et blessant des enfants à travers la Syrie", a dit le Porte-parole lors de son point de presse quotidien.
Depuis la fragile trêve entre le Gouvernement syrien et l’opposition, le 12 avril, et en dépit du déploiement des observateurs des Nations Unies, plus de 34 enfants auraient été tués, a poursuivi le Porte-parole. De plus, a ajouté l’ONU, les attentats à la bombe ont aggravé la situation sécuritaire et exposent les enfants à des risques accrus.
Mme Coomaraswamy appelle, à cet égard, "toutes les parties syriennes à s’abstenir de violences aveugles qui provoquent des morts et des blessés parmi les enfants", rappelant qu’il est de la "responsabilité de toutes les parties et un impératif humanitaire de protéger et d’éviter des souffrances inutiles aux enfants" dans ce pays.