"Lors de l’explosion, le débit de dose à la limite du site aurait atteint 1 millisievert par heure (mSv/h)", indique l’IRSN, "valeur à comparer à l’ordre de grandeur de la radioactivité naturelle qui est de 0,0001 mSv/h". Douze heures après l’explosion, selon l’Institut, "le débit de dose aurait encore été de 0,040 mSv/h".