"Si l’hydrogène a explosé, il n’y en a plus, il ne présente donc plus de danger. "Pour ce que nous en savons, il n’y a pas particulièrement de risque de fuites radioactives. C’est possible, mais nous n’en savons rien. Il n’y a pas de raison de penser qu’il y a une de ce fait", a ajouté Ian Hore-Lacy, directeur de communication de l’association nucléaire mondiale, dont le siège se trouve à Londres.