«J’annonce mon retrait de la course présidentielle pour favoriser la victoire des conservateurs», a-t-il déclaré dans un communiqué lu à la télévision.
L’ancien président du Parlement est un proche du guide suprême iranien, l’ayatollah Ali Khamenei, mais il ne faisait pas partie des favoris.
Huit candidats avaient été approuvés par le Conseil des gardiens de la Constitution, en charge de superviser les élections. Parmi eux, il y avait cinq conservateur, deux modérés et un réformateur.
Ce retrait intervient alors que des tractations sont en cours entre Hassan Rohanin, un modéré, et Mohammad Reza Aref, le candidat réformateur, pour une candidature unique au premier tour.