D’après cette étude, ces implants ont 15 à 30% de chance de se déchirer après dix ans d’utilisation, alors que ceux des autres marques présentent un taux de rupture de 10% à 14% sur la même période. Mais leurs composants ne sont ni toxiques, ni cancérigènes, assurent ces experts.
"Les multiples tests réalisés (…) ont montré que ces implants ne sont pas toxiques et ne présentent pas de risques à long terme pour la santé des femmes", a expliqué le professeur Bruce Keogh, qui a dirigé cette étude. Ces implants sont toutefois "d’une qualité inférieure à celle des autres implants" et sont "plus susceptibles de se rompre".