"Nous ne devons pas faire de la demande d’un visa un parcours d’obstacles ou, pire encore, une humiliation. Au contraire, nous avons besoin que se poursuivent et même s’amplifient les allers-retours des étudiants, des entrepreneurs, des artistes, des familles, bref tous ceux qui animent la relation" entre la France et l’Algérie. "Nous allons rester dans l’accord de 1968, mais nous prendrons toutes les mesures nécessaires pour accueillir mieux les demandeurs de visa et pour que les documents soient délivrés plus vite par nos consulats. C’est une affaire de respect et d’intérêt mutuel", a souligné François Hollande, rappelant : "Près de 200 000 Algériens reçoivent chaque année un visa dans nos consulats."
