Les deux terminaux de sortie du pétrole, Gamba et Cap-Lopez (sud-ouest) étaient notamment paralysés selon Arnauld Engandji, porte-parole de l’Organisation nationale des employés du pétrole (Onep), qui regroupe 4.000 des 5.000 employés du secteur et a lancé une grève afin d’obtenir un décret réglementant l’emploi de la main d’oeuvre étrangère. Seule la compagnie Perenco qui utilise des plateformes off-shore non reliées aux terminaux de Gamba et Port-Lopez est susceptible de continuer à exploiter. La production de Shell devrait être stoppée complètement en journée.