Il explique qu’avant d’accorder son feu vert à cette opération de 1,18 milliard d’euros annoncée en juin 2012, l’Autorité de la concurrence n’a exigé la cession que d’environ 55 points de ventes et qu’aucun de 292 magasins Monoprix n’est concerné.
L’essentiel des magasins cédés seraient des Franprix et des Monop’, le format de proximité de Monoprix, précise l’article des Echos, ajoutant que "le gros des cessions devra, tout de même, être effectué à Paris".