Les huit procès-verbaux rédigés par les policiers de l’IGS, auxquels Europe 1 a eu accès, retracent toute l’enquête demandée par le procureur de Nanterre, de la demande d’identification des téléphones des journalistes à l’exigence du procureur d’être tenu informé en temps réel.
Philippe Courroye a déposé deux requêtes en annulation après sa mise en examen pour avoir fait examiner en 2010 des factures de téléphones de journalistes, les fadettes.