"Il n’y a pas d’esclavagisme ou de travail forcé au Qatar", a déclaré Ali Al-Marri, démentant les informations du quotidien britannique The Guardian, selon lesquelles au moins 44 ouvriers népalais, travaillant dans des conditions s’apparentant à de l’esclavagisme, sont morts en 2013 sur des chantiers au Qatar.
Selon le quotidien britannique, 44 ouvriers népalais, travaillant dans des conditions s’apparentant à de l’esclavagisme, sont morts en 2013 sur des chantiers au Qatar.
Pour sa part, la Confédération internationale des syndicats (ITUC) a estimé qu’au rythme actuel des décès sur les chantiers au Qatar, au moins 4000 ouvriers pourraient mourir dans l’Emirat avant même le coup d’envoi de cette Coupe du monde 2022.
Le coordinateur de la communauté népalaise au Moyen Orient, Narinra Bad, qui participait à la conférence de presse, a pour sa part affirmé qu’en 2013, 151 Népalais étaient décédés au Qatar, "dont 15 sur leur lieu de travail".