"Il n’y a rien de consenti dans ce qui s’est passé dans cette chambre d’hôtel", a-t-il insisté. Lundi, devant la cour, l’avocat de M. Strauss-Kahn, Me Benjamin Brafman, a déclaré de façon ambiguë: "les preuves médico-légales, selon nous, ne coïncident pas avec un rapport forcé", sans qu’on sache si cette déclaration correspondait à une nouvelle ligne de défense après avoir nié tous les faits.
Des médias américains, s’appuyant sur une source "proche de la défense", ont par la suite fait état d’une ligne de défense qui consisterait à affirmer que "le rapport peut avoir été consenti".