Avocat, écrivain, poète, il avait occupé plusieurs postes au sein du corps de la magistrature, dont la présidence des tribunaux provinciaux de Méknès et Tanger, de la chambre d’appel de cette dernière, avant d’être nommé conseiller à la Cour suprême.
Le défunt faisait partie de la première promotion du cycle supérieur de l’école d’administration marocaine et avait été pris en main par son oncle l’érudit Mohamed ben El-Hassan El-Hajoui, avec qui il avait fait ses premiers pas dans les études de lettres et de la charia.
Il a publié plusieurs articles, études juridiques et recherches sur le panarabisme et le monde arabo-islamique dans son évolution intellectuelle, notamment dans le magazine " Daaouat Al-Haq " et le quotidien Al-Alam.