Damas met en garde contre une intervention étrangère en Syrie

Un haut dirigeant syrien a déclaré mardi qu’une intervention militaire étrangère en Syrie était "impossible" parce qu’elle déboucherait sur un conflit allant bien au-delà des frontières du pays.

Le vice-Premier ministre Qadri Djamil, en visite à Moscou, réagissait, semble-t-il, aux propos tenus la veille par le président Barack Obama selon lesquels le déploiement ou le recours à des armes chimiques par le régime de Damas constituait une "ligne rouge" pour les Etats-Unis.

"Une intervention militaire directe en Syrie est impossible parce quiconque l’envisagerait (…) s’acheminerait vers une confrontation allant bien au-delà des frontières de la Syrie", a dit Qadri Djamil.

Il a ajouté lors d’une conférence de presse que les menaces proférées par le chef de l’exécutif américain étaient destinées aux médias.

Laisser un commentaire

Votre adresse email ne sera pas publiée.

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que vous êtes d'accord avec cela, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte Lire la suite