Cette nouvelle structure, baptisée "Mouvement féminin de soutien aux séquestrés des camps de Tindouf", s’engage à développer l’information sur la situation des séquestrés à Tindouf, à sensibiliser et à mobiliser l’opinion publique internationale sur le calvaire enduré par ces personnes, qui sont retenues contre leur gré et dans des conditions inhumaines par les milices du "Polisario" et leur soutien, l’Algérie.
Se présentant comme un mouvement pacifique de femmes et d’hommes mobilisés en solidarité envers les femmes et les enfants séquestrés dans les camps de la honte à Tindouf, ce nouveau cadre est ouvert aux militants des associations, des ONG, des syndicats et des partis politiques.
"C’est un mouvement où les membres marcheraient d’un seul et même pas porté par un même enthousiasme et fraternité solidaire, unis par un même objectif porteur d’un seul message : Plus jamais Tindouf", lit-on dans ces statuts.
Le mouvement s’engage aussi à défendre les droits de femmes dans tous les pays.
Plus d’une centaine de citoyens des provinces du sud, dont plusieurs femmes, font partie de la délégation des acteurs de la société civile marocaine qui se trouve à Dakar pour participer au FSM.