"Je peux comprendre que David Cameron ait besoin de temps", a admis Jean-Claude Juncker, mais "nous voulons que l’article 50 (qui régit la procédure de départ, ndlr) soit déclenché aussi vite que possible". "Cela doit être accéléré, nous n’avons pas des mois pour méditer, nous devons agir", a-t-il plaidé.

