"En tant que secrétaire général, il est de mon devoir d’empêcher la guerre et de rechercher la paix. Il est également de ma responsabilité de dire que la crise actuelle est déjà allée trop loin".
Le secrétaire général de l’ONU s’est dit "convaincu que personne n’avait l’intention d’attaquer (la Corée du Nord) en raison de désaccord sur son système militaire".