"Les conditions d’un procès équitable sont respectées" dans cette affaire, a relevé M. De Cara dans une déclaration à la presse, faisant remarquer que les "séances se déroulent de manière efficace".
La Chambre criminelle près l’annexe de la Cour d’appel de Salé (Maroc) avait repris, lundi, l’examen du procès des accusés dans les événements de Gdim Izik au cours duquel il a été procédé à l’interrogatoire des personnes poursuivies dans cette affaire.
Depuis son ouverture devant la Chambre criminelle près l’annexe de la Cour d’appel de Salé, le 26 décembre 2016, le procès est suivi par plusieurs associations de défense des droits de l’homme et des ONG indépendantes nationales et internationales, avec une présence soutenue des familles des victimes.