"Quand on connaissait les données économiques et qu’on prenait au sérieux les déclarations d’Alexis Tsipras avant et après (son élection au début de l’année), alors on pouvait savoir que le gouvernement grec ne veut aucun programme de réformes", a déclaré dans un entretien au quotidien à gros tirage Bild M. Schäuble, notoirement peu enclin à la mansuétude envers Athènes.

