– Les pays doivent renforcer les filets de sécurité, faciliter le commerce, stimuler la production et investir dans une agriculture résiliente.
-Les besoins spécifiques des pays doivent être identifiés et définis par le biais d’un processus national qui mobilise les investissements des banques multilatérales de développement pour connecter les opportunités à court, moyen et long terme.
– Les organisations onusiennes et l’institution financière s’engagent à travailler ensemble pour soutenir ce processus par le biais de l’ Alliance mondiale pour la sécurité alimentaire, convoquée conjointement par la présidence du G7 et le GBM.
– Il est nécessaire d’apporter un soutien immédiat aux personnes vulnérables. Les opérations du PAM devraient être facilitées par des actions telles que l’accord récent des membres de l’OMC de ne pas imposer de restrictions à l’exportation sur ses achats de nourriture à des fins humanitaires.
-Le commerce et l’approvisionnement international en denrées alimentaires doivent être facilités.
-Les Etats doivent investir dans une agriculture résiliente au changement climatique, soutenir les petites exploitations agricoles et développer une agriculture intelligente face au climat et résiliente qui assurera une production stable dans les années à venir .
-Il est important d’aider les pays en développement touchés par les hausses de prix et les pénuries à répondre à leurs besoins urgents sans faire dérailler les objectifs de développement à plus long terme.
-Il est essentiel de veiller à ce que les pays les plus vulnérables confrontés à d’importants problèmes de balance des paiements puissent couvrir le coût de l’augmentation de leur facture d’importations alimentaires afin de minimiser tout risque de troubles sociaux.
-Le financement du développement devrait fournir aux clients des alternatives viables aux politiques tournées vers l’intérieur telles que les interdictions d’exportation ou les subventions générales aux importations d’engrais.