Cette avancée représente un nouvel atout pour l’attractivité du Maroc en termes d’investissements étrangers et un appui aux entreprises marocaines pour nouer des partenariats économiques avec leurs homologues européens dans les règles de la bonne gouvernance, relève le communiqué.
« La CGEM se félicite de la décision de l’Union Européenne (UE) de retirer définitivement le Maroc de la liste des juridictions non coopératives à des fins fiscales, qui vient reconnaître les efforts consentis par le Royaume, depuis 2018 sur les différentes Lois de Finances, pour se conformer aux règles de la fiscalité internationale », note la même source.
Marquant l’engagement du Maroc pour contribuer à la transparence fiscale au niveau mondial, la CGEM souligne que cette décision ouvrira également les portes à l’économie nationale pour se développer selon les normes internationales.
Et de rappeler que le Conseil des affaires étrangères de l’UE, réunissant les 27 ministres européens des affaires étrangers, a adopté ses conclusions sur les juridictions non coopératives à des fins fiscales, à savoir l’acte formel de l’UE qui confirme l’avis positif du Groupe Code de Conduite du Conseil de l’UE (CCG) et enlevé le Maroc de l’Annexe II – la liste des juridictions en attente d’une évaluation de l’UE sur ses engagements en matière fiscale.
Les Conclusions du Conseil de l’UE, approuvées lundi, sont l’étape finale et définitive de la procédure qui suit le feu vert des Ambassadeurs des Etats Membres de l’UE et confirme que le Royaume sort définitivement de la liste grise de de l’UE et devient donc « Green Listed ».