Pour l’heure, les propos de Laurent Gbagbo n’ont pas trouvé d’écho favorable dans le camp d’Alassane Ouattara. Régulièrement, celui-ci s’est déclaré ouvert à des négociations, à la condition préalable que son rival abandonne le pouvoir. Un vœu également formé par de nombreux leaders mondiaux, et notamment Barack Obama qui a proposé, jeudi, de recevoir Laurent Gbagbo à la Maison blanche, là encore à condition que celui-ci se résolve à lâcher les rênes du pouvoir. Sans réponse pour l’instant.
(Source JDD)