"Il y a au moins un Etat africain qui a proposé un départ ‘en douceur’ mais c’est à Gbagbo que revient la décision", a indiqué le chargé des affaires africaines au département d’Etat. William Fitzgerald a souligné que les Etats-Unis étaient prêts à imposer dans les jours qui viennent à Laurent Gbagbo, sa famille et ses proches des interdictions de déplacement si la crise politique ivoirienne s’éternise.
L’Union européenne a déjà dit qu’elle prendrait de telles mesures si Gbagbo n’a pas renoncé au pouvoir avant la fin de la semaine.