Certains Etats sahéliens ont souhaité ouvrir cette coalition à d’autres pays comme le Maroc, mais l’Algérie s’est farouchement opposée à cette proposition.
Le centre, selon Al-Watan, sera constitué d’une coalition d’officiers de haut rang des quatre pays qui assumeront la défense du territoire. "Les pays de la sous-région sont capables de relever le défi, il n’y a aucun doute sur la question", indique cette source.
Les officiers échangeront toutes informations "sur les activités des groupes terroristes dans la région, leur implantation, leurs mouvements et surtout l’identité de chacun de leurs membres", explique-t-elle.
La direction du centre sera tournante, comme l’est le Conseil d’état-major militaire régional qui s’était réuni à Tamanrasset, dans le sud algérien dimanche, ajoute le journal. L’Algérie avait, à cette occasion, passé la présidence du Conseil au Mali.
Les chefs du renseignement d’Algérie, du Niger, de Mauritanie et du Mali ont créé un centre du renseignement pour contrer le terrorisme dans le Sahel lors de leur réunion à Alger, a rapporté jeudi le quotidien algérien Al-Watan, citant une source proche dossier.
Le centre, selon Al-Watan, sera constitué d’une coalition d’officiers de haut rang des quatre pays qui assumeront la défense du territoire. "Les pays de la sous-région sont capables de relever le défi, il n’y a aucun doute sur la question", indique cette source.
Les officiers échangeront toutes informations "sur les activités des groupes terroristes dans la région, leur implantation, leurs mouvements et surtout l’identité de chacun de leurs membres", explique-t-elle.
La direction du centre sera tournante, comme l’est le Conseil d’état-major militaire régional qui s’était réuni à Tamanrasset, dans le sud algérien dimanche, ajoute le journal. L’Algérie avait, à cette occasion, passé la présidence du Conseil au Mali.
Selon un spécialiste du renseignement, au delà des déclarations officielles, le partage effectif des informations stratégiques n’est peut être pas encore pour tout de suite.
La France s’est dite prête à négocier avec Al-Qaïda au Maghreb (Aqmi) qui a revendiqué le rapt, tout en lançant des recherches à partir d’une "base opérationnelle" à Niamey.
La France s’est dite prête à négocier avec Al-Qaïda au Maghreb (Aqmi) qui a revendiqué le rapt, tout en lançant des recherches à partir d’une "base opérationnelle" à Niamey.