"Avec nos lois actuelles, et avec les abus qui sont faits de ces lois, nous courons le risque de voir ce genre d’arrivée, ce genre de trafic d’êtres humains, augmenter dans les années à venir, à moins que nous ne changions significativement nos lois", a déclaré M. Harper lors d’un point de presse télévisé.
Stephen Harper a indiqué vouloir mettre en place des "moyens de dissuasion sérieux" dans un projet de loi présenté aux députés lorsque la Chambre des communes reprendra ses travaux, à compter du 18 octobre.