Le prévenu, qui comparaissait pour "outrage à personne dépositaire de l’autorité publique", s’est défendu d’avoir voulu insulter Mme Dati en tant que députée européenne.
"Il n’y a pas de menace dans mes mails", a-t-il dit à la barre, ajoutant: "C’est pas très intelligent, je l’ai reconnu tout de suite, mais pour quelque chose comme ça, une convocation au commissariat aurait été largement suffisante".