Dans un entretien publié dimanche par le journal grec Protothema, Georges Papandréou a exclu qu’un accord européen puisse entrainer un relâchement de l’effort de rigueur. Il a appelé, dans ce cadre, l’UE à régler de manière "collective et décisive" la crise de la dette qui trouble son pays et la zone euro.
Le gouvernement grec veut faire voter, le 20 octobre, une nouvelle série de mesures d’austérité exigé par l’Union européenne et le Fonds monétaire international mais qui suscite une résistance sociale féroce.