"Quel naufrage ! Je suis triste et je le resterai très longtemps. (…) Si tout ce qui est rapporté était vrai, je voudrais pouvoir m’entretenir avec lui un jour sur tout cela", a dit Jean-Claude Juncker. "Il n’y a que des victimes dans ce que je ne veux pas appeler un dossier", a-t-il conclu.