Nouri Abdallah Abdoullati, l’un des chefs insurgés dans cette ville à 200 km à l’est de Tripoli, a indiqué mardi soir à la presse que les rebelles demandaient l’envoi de soldats français et britanniques sur la base de principes "humanitaires".
"Auparavant, nous demandions qu’il n’y ait aucune interférence étrangère, mais c’était avant que Kadhafi utilise des roquettes Grad et des avions". "Désormais, il s’agit d’une situation de vie ou de mort", a-t-il déclaré.