En tant qu’Etat partie à la convention contre la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants, le Liban est lié par l’obligation de ne pas refouler ou extrader une personne vers un Etat où elle risque d’être soumise à la torture, a affirmé le porte-parole, faisant état de l’insécurité qui pèse sur les populations en Syrie.
