"Il n’y avait aucun élément permettant d’appréhender Mohamed Merah" avant son passage à l’acte, a-t-il déclaré sur RTL. "On n’a pas le droit dans un pays comme le nôtre de surveiller en permanence sans décision de justice quelqu’un qui n’a pas commis de délit (…) Nous vivons dans un Etat de droit", a-t-il ajouté.
