L’armée doit retourner dans les casernes, les détenus d’opinion doivent être libérés, un réel dialogue politique et des réformes véritables répondant aux aspirations légitimes du peuple syrien doivent s’ouvrir. Ces mesures sont indispensables au maintien de la stabilité en Syrie et dans la région", a ajouté le porte-parole du ministère, Bernard Valero. A l’Organisation des Nations unies, Paris cherche à faire adopter un texte condamnant la Syrie.
Les Etats-Unis ont décidé mercredi de sanctionner directement le président al-Assad et six autres responsables. La Syrie a réagi en affirmant que ces sanctions n’influeraient pas sur ses décisions.Selon des organisations non-gouvernementales et l’ONU, la répression de la contestation qui a débuté à la mi-mars a fait au moins 850 morts et entraîné plus de 8.000 arrestations.