Sarkozy dénonce le « procès stalinien » qu’on lui fait en l’accusant d’extrémisme

Nicolas Sarkozy a dénoncé vendredi à Dijon le « procès stalinien » qu’on lui fait en l’accusant d' »extrémisme ». « Depuis lundi », au lendemain du premier tour de la présidentielle, « mon projet serait devenu extrémiste. Depuis lundi, c’est un déchaînement, j’aurais durci et extrémisé mes propos », a dénoncé le président-candidat UMP, en faisant valoir que ses propositions développées lors de sa campagne du premier tour étaient les mêmes que celles qu’il faisait pour le second.

Depuis lundi", au lendemain du premier tour de la présidentielle, "mon projet serait devenu extrémiste. Depuis lundi, c’est un déchaînement, j’aurai durci et extrémisé mes propos", a déclaré le président-candidat, "on me fait un procès d’intention, un procès stalinien, comme à la belle époque".

Il a fait valoir que sa campagne pour le second tour n’était pas différente de celle du premier, et qu’il développait les mêmes propositions.

"On me demande quelles sont mes relations avec Marine Le Pen (…). Je dois me justifier, je dois m’expliquer", a-t-il observé, accusant la candidate du FN, arrivée 3ème du premier tour dimanche dernier avec près de 6,5 millions de voix, de s’en prendre à lui sans ménagement.

M. Sarkozy s’exprimait au Zénith de Dijon, dans un meeting qui a réuni 10.000 personnes selon l’UMP.

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