L’Iranienne Sakineh Mohammadi Ashtiani, condamnée à la lapidation pour adultère et complicité dans le meurtre de son mari, a été autorisée samedi à quitter provisoirement sa cellule pour dîner avec ses enfants, dont l’un avait imploré quelques heures plus tôt la justice de l’épargner. La peine de mort par lapidation a été suspendue après une vague de protestations internationale, mais elle reste passible de la pendaison.
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