Dans un communiqué, elle considère que la formation d’un gouvernement syrien transitoire, à laquelle appelle notamment la France, "est sans doute nécessaire et urgente", mais elle "devra impérativement se faire avec celles et ceux qui se sont battus avec sincérité et courage pour la démocratie, la liberté et le bien du peuple syrien".
"Face à l’escalade de violences, face aux milliers de morts, il est temps d’agir en reconnaissant l’échec des négociations politiques et diplomatiques avec Bachar Al-Assad qui demeure notre seul interlocuteur", insiste l’eurodéputée alors que l’Union européenne devait annoncer lundi un renforcement des sanctions contre le pouvoir syrien, en particulier en ce qui concerne les contrô les de l’embargo sur les armes.