Bachar al Assad et son aviation font "de l’interdiction de l’accès aux soins une arme de guerre", particulièrement dans leszones contrôlées par l’opposition, ajoutent les enquêteurs de l’Onu.
"Il est également prouvé que des groupes armés anti-gouvernementaux ont attaqué des hôpitaux dans certainsendroits", souligne la commission d’enquête onusienne dirigée par le Brésilien Paulo Pinheiro.