Interrogé sur le cas de Lies Hebbadj, il a en revanche déclaré ne pas aimer "les mises à morts symboliques". "Je vois un immense cinéma", a-t-il déclaré, jugeant les mesures sécuritaires proposée par Sarkozy de "provocation politicienne". "La déchéance de nationalité, cela va concerner au maximum 10 personnes", a-t-il déclaré, jugeant que le véritable problème était lié aux "82.000 peines de prison qui ne sont pas exécutées" en raison du système de remise de peine français. "Toutes les condamnations allant jusqu’à 2 ans ne sont pas effectuées dans un lieu d’incarcération", a-t-il regretté.