Au coucher du soleil, poursuit le journal, rendez-vous à l’un des endroits les plus renommés d’Afrique du Nord, la place Jamaa El-Fna, qui avec ses gargotes mobiles, ses performances nocturnes et ses charmeurs de serpents, offre une scène magique et unique en son genre.
Le New York Times, qui souligne la proximité et l’aisance du transport entre les grandes villes du Royaume, recommande d’explorer par la suite la cité impériale de Meknès, notamment sa médina, certes moins surpeuplée que celle de Marrakech et de Fès, mais tout aussi fascinante et mystérieuse.
De là, le visiteur peut se rendre à la ville de Moulay Idriss Zerhoun, situé à un jet de pierre de Meknès, et qui représente un haut lieu de spiritualité, nommé d’après Moulay Idriss Ier, fondateur de la Dynastie Idrisside, poursuit la même source, ajoutant que non loin se dresse un site historique et archéologique tout aussi fascinant, à savoir les ruines romaines de Volubilis.
La ville de Fès, capitale culturelle, historique et spirituelle du Royaume, se trouve aussi à proximité et constitue un autre site à ne pas rater, notamment sa vieille médina (Fès el Bali), et les arts décoratifs hors du commun datant du 14è siècle de l’école et de la mosquée Bouanania, ajoute-t-on de même source.
L’université Al Karaouiyine, fondée au 9è siècle et considérée comme la plus ancienne institution de hautes études dans le monde, ainsi que les Tanneries, grand lieu d’artisanat de Fès, sont autant de sites que le visiteur averti ne devrait certes pas manquer de visiter, conclut le New York Times.
Avec agence