"Après les sanctions qui n’ont pas produit d’effet, il n’y a qu’une solution qui reste, celle de la force. Et je demande au Conseil de sécurité des Nations unies, à l’Union européenne, à la Cedeao d’envisager la force", a déclaré Guillaume Soro sur iTélé.
Il a estimé que Laurent Gbagbo avait "sorti les chars" et que "200 personnes (étaient) tombées sous les balles de mercenaires libériens et angolais" depuis le début de la crise, qui a suivi le scrutin présidentiel du 28 novembre.
Cet appel est intervenu après une recommandation de la France à ses ressortissants de quitter "provisoirement" la Côte d’Ivoire, également faite par l’Allemagne, la Suède et le Portugal.