"Personne n’a jamais dit versez plus de quatre milliards de dollars sur le champ, mais (nous disons) plutôt montrez que vous êtes prêts à agir". "L’exigence minimum pour la reprise des discussions est qu’ils en paient une partie", a-t-il déclaré à la presse.
Le russe Gazprom a quasiment doublé début avril le tarif du gaz livré à l’Ukraine, en accusant Kiev d’accumuler les arriérés de paiement. Le nouveau pouvoir ukrainien refuse le nouveau tarif.