Anders Fogh Rasmussen a exclu dans une interview accordée à Reuters que l’Otan fournisse un soutien logistique à l’éventuel établissement de "corridors humanitaires", idée suggérée notamment par la France pour venir en aide aux civils pris au piège dans les villes encerclées par les forces du président Bachar al Assad.
"Nous n’avons aucune intention d’intervenir en Syrie", a-t-il déclaré au cours d’une visite à Ankara destinée à marquer le soixantième anniversaire de l’adhésion de la Turquie à l’Otan.
Le "Groupe des amis de la Syrie" doit se réunir le 24 février à Tunis pour explorer les moyens de mettre fin à onze mois de répression du soulèvement contre le régime de Bachar al Assad.