"Je crois malgré tout encore à une solution négociée et j’espère que la communauté internationale va à l’avenir exercer davantage de pression sur le régime syrien", a dit M. Tomah, questionné sur ses espoirs après l’impasse de Genève, lors d’un point presse à Berlin.
La conférence de Genève s’était ouverte le 22 janvier en Suisse et les tractations entre Damas et l’opposition s’étaient poursuivies jusqu’au 15 février, mais sans produire aucun résultat.