Selon un diplomate proche du dossier, Téhéran a imputé ce contretemps à un petit problème dans la salle des turbines.
La centrale devait commencer à produire de l’électricité au début de l’année mais la Russie a annoncé en février qu’un problème au niveau de la pompe nécessitait de retirer le combustible nucléaire qui venait d’être chargé.
Vendredi, l’AIEA s’est dite de plus en plus inquiète concernant une éventuelle dimension militaire du programme nucléaire iranien.
L’AIEA a également annoncé une réunion pour fin novembre afin d’étudier la possibilité de créer une zone exempte d’armes nucléaires au Moyen-Orient, où Israël est considéré comme une puissance atomique.