« Aujourd’hui, il existe de vraies chances pour un règlement diplomatique », a déclaré le chef de la diplomatie ukrainienne Dmytro Kouleba, soulignant que la situation est « tendue, mais sous contrôle ».
La veille, M. Macron avait assuré depuis l’Ukraine que le président russe Vladimir Poutine avait promis lundi de ne pas être « à l’origine de l’escalade ».
M. Kouleba a estimé en outre que les sanctions élaborées par l’Union européenne et les Etats-Unis en cas d’invasion russe et qui « prévoient des décisions sans précédent, très douloureuses pour la Russie » étaient un élément important de dissuasion.
Désormais, dit-il, « il s’agit de préserver l’ensemble de l’architecture de la sécurité en Europe », bâtie depuis 30 ans.