C’était la manifestation la plus importante organisée ces derniers jours en Irlande après le décès fin octobre de Savita Halappanavar, une Indienne de 31 ans, victime d’une septicémie après une fausse couche à 17 semaines de grossesse.
Le manque de clarté dans la loi irlandaise, l’une des plus restrictives au monde en matière d’avortement, a pu contribuer à la mort de la jeune femme, estiment des militants.
L’autorité sanitaire britannique a lancé une enquête sur ce décès, qui a relancé le débat sur la nécessité de légiférer pour autoriser explicitement l’avortement quand la santé de la mère est en danger.