"Il n’y a pas de doute que Boko Haram est responsable et devra rendre compte de cette nouvelle horreur humaine", a déclaré le président français lors d’une conférence de presse, après un entretien avec le président algérien Abdelaziz Bouteflika.
"Nous avons souligné notre préoccupation et notre solidarité" après "cet attentat barbare", a aussi affirmé M. Hollande, à l’issue de cette rencontre de près de deux heures.
La capitale tchadienne N’Djamena a été frappée lundi pour la première fois par un double attentat-suicide qui a fait 23 morts, attribué à Boko Haram par le gouvernement.
Les deux attaques ont visé le commissariat central de N’Djamena et l’école de police, selon le gouvernement tchadien.