– Mégalomane: le milliardaire des médias possède une grande confiance en lui. Il se compare non seulement à Superman, mais aussi à Napoléon, parfois avec un saint et même avec Dieu.
– Mauvais goût: lors d’une rencontre avec les ministres européens des Affaires étrangères en 2002, il s’amuse à faire des cornes de cocu avec deux doigts derrière son collègue espagnol Josep Piqué.
– Comparaison osée: en juillet 2003, il se brouille définitivement avec le député européen allemand Martin Schulz en le comparant à un Kapo, un gardien de camp de concentratoin nazi.
– Playboy: en 2005, Berlusconi se vante d’avoir déployé tout son "art de playboy" pour convaincre la présidente finlandaise Tarja Halonen de laisser l’Italie obtenir le siège de l’Autorité européenne pour la sécurité des aliments (EFSA).
– Cuisine électorale: pendant la campagne de 2006, Berlusconi déclare que sous Mao, les enfants ne mangeaient pas mais étaient "cuits dans une grande casserole pour fertiliser les champs".
– Féministe: pendant la campagne électorale de 2008, Berlusconi déclare à la gauche que "nos femmes sont bien mieux que les vô tres".
– Bronzé: en novembre 2008, il soulève une indignation internationale en déclarant que le président-élu des Etats-Unis, Barack Obama, noir, possède un "joli teint bronzé".
– Hétérosexuel: en novembre 2010, mis en cause dans le scandale du Rubygate, il déclare qu’il vaut "mieux s’enflammer pour une jolie femme qu’être gay".
– Grossier: en septembre 2011, Berlusconi déclare à un proche que l’Italie est un "pays de merde" qu’il compte quitter rapidement.