Selon lui, le chef de l’Etat est celui "qui rassemble le plus largement possible la majorité" et "toute autre candidature serait une candidature de division qui ouvrirait un boulevard à la gauche."
Pour le Premier ministre, la candidature du centre semble superflue. "S’il y avait des différences idéologiques, pourquoi pas, mais où sont-elles ? Aujourd’hui, la politique conduite par le chef de l’État est à équidistance des trois familles politiques qui composent l’UMP – gaullistes, libéraux et centristes".
Quant à ses relations avec le président de la République, elles sont "excellentes" même si comme dans tout mariage, "il peut y avoir des nuages.".